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samedi, 21 mai 2016

Extrême gauche : des fils de bonnes familles placés en garde à vue

 

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Parmi les nombreuses violences d’extrême gauche des derniers jours, tout le monde a en tête les images des gauchistes bien décidés à « tuer du flic » mercredi dernier.

Cinq personnes ont été placées en gardées à vue, soupçonnés d’avoir attaqué et incendié le mercredi 18 mai à Paris une voiture de police dans laquelle circulaient deux agents. Le plus jeune des suspects a 19 ans. Le plus âgé a 32 ans.

Parmi ces individus figurent deux frères âgés de 21 et 32 ans, militants du groupe Action Antifasciste Paris Banlieue. Ils sont bien connus des services de police. C’est Antonin, le plus jeune des deux, fils de bonne famille, domicilié dans le quartier de Montparnasse et travaillant à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), qui avait introduit le recours devant le Tribunal administratif contre l’interdiction de manifester mardi dernier émise par le préfet. Suite à ce recours d’Antonin, le Tribunal administratif avait annulé cette interdiction.

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Symbolique de la violence utilisée par le mouvement Action Antifasciste Paris-Banlieue

Symbolique de la violence utilisée par le mouvement Action Antifasciste Paris-Banlieue

Pourtant, l’avocat de la préfecture avait produit devant le tribunal administratif une « note blanche » des services de la Direction du Renseignement de la préfecture de Police (DRPP) contre Antonin B. , datée du 28 avril 2016. Dans ce document, le préfet signalait que le militant antifa avait participé à deux rassemblements interdits et était « soupçonné d’avoir participé à l’agression d’un militaire, hors service, engagé dans l’opération Sentinelle dans la capitale ». Antonin B. s’était contenté de démentir.

Les autres individus placés en garde à vue sont des activistes Anarchos-Autonomes.

Ces cinq individus ont été identifiés comme ayant également participé à plusieurs manifestations du 9 mars au 26 avril, en marge desquelles ont eu lieu de nombreuses dégradations et de violents affrontements avec les forces de l’ordre. Ils ont également participé à des rassemblements interdits. Trois d’entre eux ont fait l’objet à la demande du préfet de police de Paris d’une interdiction d’apparaître le mardi 17 mai, entre 11h et 20h, dans les 6e, 7e, 14e et 15e arrondissements de Paris et, de 18h00 et jusqu’à 7 heures le lendemain.

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Les antifas militent aussi pour l'accueil des "réfugiés". Pourtant, hors des manifestations,ces fils de bonne famille n'hébergent pas d'immigrés chez eux.

Les antifas militent aussi pour l’accueil des « réfugiés ». Pourtant, hors des manifestations,ces fils de bonne famille n’hébergent pas d’immigrés chez eux.

Tous les cinq ont été arrêtés par le deuxième district de la PJ parisienne grâce à une note des Renseignements de la Direction de la préfecture de Police (DRPP) et à la vidéo surveillance. Ils sont soupçonnés de « tentative d’homicide volontaire » dans une enquête en flagrance ouverte par le parquet de Paris.

Selon le ministre de l’Intérieur, d’autres interpellations devraient avoir lieu rapidement.

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Une autre thématique significative des antifas...

Une autre thématique significative des antifas…

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Antifascisme, sionisme et LGBT, même combat...

Antifascisme, sionisme et LGBT, même combat…

 

Source : medias-presse

 

vendredi, 19 février 2016

En garde à vue pour avoir dénoncé les atrocités des barbares islamistes

 

Publié par Thomas Joly

J'ai été placé en garde à vue ce vendredi 19 février pour être entendu à propos d'une soi-disant « diffusion de message violent accessible à un mineur ». Il s'agit en fait d'une procédure engagée par l'OCLCTIC (Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication) visant l'utilisation de deux photos pour illustrer des articles de mon blog consacrés aux atrocités commises par DAECH et au meurtre par décapitation commis par l'islamiste Yassin Salhi en juin 2015.

Cette minable petite intimidation politico-judiciaire est évidemment sans effet sur ma détermination à dire la vérité aux Français sur le danger islamiste dans un pays envahi dirigé par des irresponsables.

Marine Le Pen, Présidente du Front National, ayant diffusé ces mêmes photos sur son compte Twitter, il sera intéressant de voir si elle subit le même traitement que ma modeste personne...

Pendant que le terrorisme islamique prospère en France et en Europe, la police politique de Manuel Valls veille à traquer ceux qui entendent alerter les Français et résister à ce fléau. Le gouvernement socialiste et la justice française semblent avoir leurs priorités...

Thomas JOLY - Secrétaire général du Parti de la France

 

Source : http://www.thomasjoly.fr/

samedi, 06 février 2016

Montauban : Brigitte Barèges conteste sa mise en examen... devant la justice

Publié par Guy Jovelin le 6 février 2016 

L'avocat de la maire (LR) de Montauban a entamé une procédure pour faire annuler sa garde à vue et sa mise en examen de juin 2015 dans un affaire d'emploi fictif. Dans le même temps, d'autres enquêtes judiciaires sont menées dans la galaxie de l'hôtel de ville de Montauban. 

 
Brigitte Barèges © Remy Gabalda / AFP

© Remy Gabalda / AFP Brigitte Barèges

 
La maire de Montauban, Brigitte Barèges a contesté devant la justice sa garde à vue et sa mise en examen de juin dernier, dans une affaire d'emploi fictif présumé et la Cour d'appel de Toulouse, qui a examiné ce recours jeudi 4 février a mis sa décision en délibéré a indiqué la mairie dans un communiqué publié vendredi 5 février.

Le principe même de la mise en examen contesté

Brigitte Barèges et son avocat Maitre Laurent Decaunes ont déposé "une requête en nullité de la garde à vue et de la procédure de mise en examen, et une question prioritaire de constitutionnalité". Sur le sujet de la mise en examen, c'est carrément le principe même de cette procédure que l'élue et son conseil contestent : "l’article 80-1 du code de procédure pénale qui permet au juge d’instruction de mettre en examen, est un article qui n’a jusqu’à présent jamais fait l’objet d’un examen par le Conseil Constitutionnel, alors pourtant qu’il contrevient à la Constitution. Le point de droit qui est soulevé est le fait de faire reconnaitre au Conseil Constitutionnel que ce pouvoir donné au juge d’instruction par l’article 80-1 est en fait un véritable pouvoir juridictionnel et qu’à ce titre donc, il devrait être motivé par le juge après un débat préalable permettant l’exercice des droits de la défense, ce qui n’est pas le cas en l’état du texte"

D'autres affaires en cours

Brigitte Barèges conteste cette procédure au moment où les informations filtrent sur plusieurs nouvelles enquêtes financières menées autour de l'hôtel de ville, comme nous le révélions mercredi 3 février. 
D
es révélations qui sonnent pour Brigitte Barèges comme "un véritable lynchage médiatique sans aucun respect pour les sacro saints principes que tout citoyen, et notamment la presse, devrait respecter : à savoir la présomption d’innocence et le secret de l’instruction" et qui auraient selon elle pour but d'influencer les magistrats toulousains qui vont devoir se pencher sur la nullité de sa mise en examen

Comme on dit traditionnellement sur ce type de sujet : affaire à suivre !